Présentation de Vincenzo

Nom: Neviani
Prénom: Vincenzo (surnom Vince)
Age: 17 ans

Description physique (4 lignes minimum) : Vince est un jeune homme aux cheveux mi-longs, naturellement blonds, mais qu’il teignit en noirs plus tard, avec le toupet recouvrant ses yeux ou placé en frange, aux yeux cobalt où une forte étincelle de moquerie scintille et aux longs cils noirs. Sa peau est hâlée, son nez droit et fin, ses lèvres pleines et son front haut. Il mesure 6 pieds 3 pouces ce qui le rend plutôt imposant. Il est plus ou moins large d’épaules et son corps est assez musclé, quoique sans l’être trop. Il est généralement vêtu d’un pantalon noir, ou un jean ajusté, d’un chandail noir ou blanc, rarement d’autres couleurs, et où il y a une phrase la plus part du temps équivoque ou cinglante. Tout son être, dans sa posture et son langage, n’est qu’outrance et arrogance.

Description morale (4 lignes minimum) : D’un naturel arrogant et cruel, Vince n’est pas facile à vivre. Il aime le sang et est donc quelqu’un d’imprévisible et violent. Il aime bousculer les gens et être craint. Il n’a peur de rien et être plutôt évasif niveau sentiments et relations avec les autres. Il est plus du genre solitaire mauvais, insensible et il ne pense qu’à lui, se fautant volontiers des autres personnes qui l’entourent, il n’a de préoccupation que pour lui-même. Lorsqu’il parle avec les autres, c’est pour les provoquer, les tester, voir si elles sont assez bonnes pour être avec lui. Il aime la controverse, la provocation et le combat à l’état brut. Mais, au fond de lui, il se sait toujours un peu sensible et doux, mais regrette ce côté de lui au point qu’il ne tente que de l’exterminer à jamais…

Histoire (8 lignes minimum) : Vincenzo est né en Italie, sur la belle île de Sicile, dans une somptueuse villa. Ses parents étant riches, il ne manqua de rien et devint rapidement un enfant parfait, comme le rêve tous les parents. Il était mignon comme tout et était d’une joie de vivre communicative. Il débordait d’énergie et riait toujours. Mais arriva une épreuve à travers laquelle tous doivent passer un beau jour, quelque chose qui peut changer quelqu’un à jamais, un moment difficile mais obligatoire : l’école ! Le primaire alla bien, tout le monde est ami avec tout le monde, aucune vrai discrimination n’est faite. Toutefois, lorsqu’arrive l’école secondaire, ça change de manière radicale et inattendue. Étant de famille aisée et ayant voulu de son propre chef aller dans une polyvalente, école publique normale, où des gens de haute et basse société de côtoient, il fut, disons-le, frappé par la dure réalité des choses. On ne l’aimait plus autant qu’avant, ou si on faisait semblant d’être son ami, c’était bien parce qu’il avait de l’argent. Alors, auto-défense l’exige, Vincenzo se referma sur lui-même et devint de plus en plus hostile.

Par n beau jour habituel, une gang de voyous de l’école l’accostèrent et le chef, avec son air hautain et moqueur, lui lança : « Tiens-tiens, si ce n’est pas ce petit enculé de fils à papa. Comment tu vas, p’tit plein de frique ? » Il le bouscula et Vince tomba, se blessant. Une soudaine colère, mélange d’indignation et de hargne refoulée, le posséda et il se rua sur l’insolent et le frappa avec violence. L’autre s’étendit au sol, du sang lui coula de la bouche. Il se releva, outré de s’être laissé frapper, et un combat s’engagea. Les coups fusaient de toutes parts et le sang aussi. Le résultat du combat : Vincenzo couvert de sang, le sien et celui et l’autre, et l’autre garçon étendu au sol, inconscient. Surpris et fier, Vince jeta un œil sur lui-même et regarda les tâches qui recouvraient ses vêtements, il en aima la couleur et la signification qu’elles avaient. Il se trouva une soudaine passion violente pour le sang, ce liquide rouge et humain, signification de l’être.

Les jours passèrent, les batailles engagées par Neviani se multiplièrent. Il adorait tant le sang qu’il blessait les gens, juste pour le contempler. Il en devint obsédé. C’était horrible pour la famille qui ne comprenait rien de tout cela, leur enfant était devenu fou et psychopathe. Il avait même frappé ses deux jeunes frères, pour le simple plaisir de voir ce liquide carmin, mais aussi pour qu’on le craigne.

Ses parents, à bout de ressource car l’ayant envoyé chez un psychologue, lui ayant parlé et l’ayant raisonné, décidèrent de l’envoyer ailleurs. Et voyant l’annonce d’un Pensionnat se dire que ce serait bien : Vincenzo serait entouré de nouvelles personnes et dans un environnement différent. Alors c’est à contrecœur qu’ils envoyèrent leur enfant, leur petit garçon, au Pensionnat Yoshikazu…

~Autres~

Famille : Un père, une mère, deux frères

Problème de santé ou psychologique : Santé non. Niveau mental… assez détraqué comme ça…

Sexualité : Bisexuel

[Je sais pas trop pourquoi, mais j'ai comme qu'on dirait l'impresion d'en avoir écrit beaucoup... ]